— 4 — ‘in dem Wasichen, vendent, par-devant l'officialité de Strasbourg et en présence de leurs frères Symon et Jean, aux religieuses du Sindelsberg, pour 200 livres, les droits et priviléges qu'ils possèdent dans les bans de Rumersheim, Waltenheim, Mittelhausen, in superiore curia dicta Büte, etc. (ides de juillet, 15 juillet, 1346)". Fac-simile des sceaux de Hugues et de Frédéric de Geroldseck-ès-Vosges. « Le 28 novembre 1353, Hugues et Frédéric, domini de Gerollzeck in : Vasago , s'associent à la pétition adressée par les grands vassaux de l’évé- ché de Strasbourg au collége des cardinaux, à l'effet d'obtenir que le doyen, Jean de Lichtenberg, élu évêque par le chapitre, soit confirmé en.cette qualité par le Saint-Siége*. Le 6 des nones de juillet (2 juillet) 4364, Hugues, fils de feu Égenon, seigneur de Geroltzeck in Vogeso, fonde, avec le consentement tant de ses frères Sycmundus, chanoine de Strasbourg, et Frédéric, que de Walram (de Geroldseck), abbé de Marmoutier, une messe dans ledit mo- nastère, en l'honneur de Dieu et de la sainte Vierge’. Le 31 janvier 1366 (an dem neheslen samestage vor unsere frowe tage der Lichimesse), Bourcard de Fénétrange et les frères Hugues, Symon et Frédéric de Geroldseck, jurent une paix castrale (burgfrid) à Sleinsal (Stinzel); ce burgfrid fut renouvelé en 1404, le samedi avant la Saint- 1. Archives du Bas-Rhin, H, 597, 4; à la charte sont appendus deux très-jolis sceaux ronds en cire verte, portant l'écu triangulaire aux armes des Geroldseck, avec les légendes: S. HUGOIS: DE: GEROLTSEGG : JUNIORIS, sur l'un; S.FRICI. D.E GEROTSERE (sic), sur l'autre, — Nous les reprodujsons tous deux ci-dessus. 2. Ibid., G, 559, 5. 3. {bid., H, 556, 1. ScHŒPFLIN, Ais. dipl., n° 1118.